(dead wrong)
(the Fray)
Comme je te hais Toi et ta grande gueule de gonzesse mal foutue déprimée de la vie maniaco-dépressive si je te vois encore une fois je t’explose en fracas de pierre tombale à l’âme nécrophile (glaubst du dass mein Kopf noch dort ist, da wo ich ihn vergaß ?) et je te jure ne viens pas même frapper à la porte de ma chambre noire ne viens pas ou je te jure que nos poings se dresseront sur nos poitrines le jour de l’attentat là c’est fini tout va exploser comme bing en bas et en haut le ciel s’est inversé non il m’a pas payée quoi mon père si toi tu me descends au moins lui il me remonte puis compte les visages de furies et tes rides et ma grande gueule je l’ai de toi moi ne te plains pas salope c’est de toi de toi comme je te hais je te hais je te hais toi rien que toi oui toi t’avais qu’à me frapper allez allez montre moi que tu t’imposes montre moi ce que je ne sais pas je tends ma joue et mon ventre et mes doigts de sale petite homo pas normale ouais je l’ai baisée elle et plus d’une fois mais bat moi à terre pour cette fois achève jusqu’au sang de nos têtes bornées laquelle qui succombera ? la pression dans ma veine gauche et ton regard à froid dis donc t’es cap toi de m’envoyer de m’expulser sur une autre planète hypothétique là où des gamines capricieuses vivent et blahblah en allemand pour un rat mais quoi t’as envie de pleurer parce que je ne suis plus la même que j’étais et que là je te crie à genoux et que tu vois dans mes yeux la haine que tu m’as lancée quand tu m’as dit que tu m’aimes pas moi et mon père et que tout pour toi c’est lui là bas ? regarde devant toi celle que tu n’aimes pas celle que tu conchies celle qui n’est plus celle qui sourit bas puisque celle là elle est partie oui partie en exil de là où l’on ne revient pas je suis l’autre maintenant celle qui sourit haut faut que tu t’y fasses ou pas je suis moi pour toi je suis celle que tu n’aimes pas.
